Augmentation des salaires
Salaires : la CGT met les négociations de branche sous votre contrôle : les 1% des employeurs pour 2024 sont inacceptables ! Les employeurs ont proposé : 1/ Un reliquat pour 2023 de 0,5% de...
Salaires : la CGT met les négociations de branche sous votre contrôle : les 1% des employeurs pour 2024 sont inacceptables ! Les employeurs ont proposé : 1/ Un reliquat pour 2023 de 0,5% de...
Après le deuxième raz-de-marée historique du 31 janvier (2,8 millions de manifestants) : quoi qu’ils en disent, la Ministre Borne et le Président Macron, sont en difficulté. L’opposition est projet est ultra-majoritaire parmi les...
49,5% : Vous êtes près de la moitié des agents de la R&D à être en grève aujourd’hui. 58% de grévistes qui ont été remontés par la direction en moyenne sur EDF. 68% de...
Le système de retraites par répartition, un conquis social à défendre : rappel historique et principes élémentaires Le système de retraite par répartition conquis en 1945 avec la construction de la sécurité sociale reste...
Au petit matin du 4 octobre, des agents de maintenance de Réseau de Transport d’Électricité (RTE) ont vudébarquer à leur domicile la police pour des perquisitions. Menottés devant leur famille et qualifiés de« cybercriminels...
A suivre ↴
Lors de la négociation salariale de la branche des Industries Electriques et gazières, qui s’est tenue hier, la FNME-CGT a revendiqué l’augmentation du SNB★ suivante : 1,8% correspondant à l’IPC* prévisionnel pour 2025 et 5% supplémentaire pour compenser la perte cumulée dans les IEG depuis 2021. Dans un contexte de super profits réalisés par les entreprises de la branche des IEG, les représentants des employeurs de la Branche ont « planté le décor » avant toute discussion, en annonçant que « cette première séance serait conclusive » ! Sans aucun scrupule, les employeurs ont fait leur 1ère proposition : ➢ Augmentation du SNB à 0,6% vs 1,8% d’inflation (soit une perte de pouvoir d’achat de 1,2%) ➢ Ancienneté à 0,6% (augmentation moyenne annuelle de la masse salariale liée aux échelons d’ancienneté, prévus par notre grille salariale) ➢ Avancements et reclassements à 0,7% (recommandation pour négo à venir dans chaque entreprise de la branche) La CGT, accompagnée des autres OS, a fermement dénoncé cette provocation inacceptable et indiqué que si les employeurs continuaient à se moquer des Agents des IEG, les OS quitteraient la séance car le compte n’y était pas ! Après une heure d’interruption, les employeurs ont fait leur 2ème et dernière proposition : ➢ Augmentation du SNB à 0,8% vs 1,8% d’inflation (soit 1% de perte de pouvoir d’achat) ➢ Ancienneté à 0,6% ➢ Avancements et reclassements à 0,9% (c’est-à-dire, en pratique, moins d’un avancement à attribuer pour 3 agents) La CGT a indiqué que ces propositions, entérinant un nouveau décrochage du SNB par rapport à l’inflation, était une insulte faite aux Travailleuses et Travailleurs. Quant au taux d’avancement garanti, il est dérisoire compte tenu à la fois des efforts consentis par l’ensemble des agents de la branche au cours de l’année (cf notamment les sous effectifs chroniques dans toutes les entreprises de la branche) et de la faible augmentation de salaire que représente un NR. « Droit dans leurs bottes », sans aucune considération du besoin de revaloriser le SNB, les employeurs ont maintenu leur méprisante position … La CGT a quitté la séance, suivie par les autres Organisations syndicales ! La CGT rappelle que le Salaire National de Base est le seul levier pour compenser l’augmentation du coût de la vie. Son niveau garantit aussi le salaire d’embauche des nouveaux recrutés, et donc la possibilité de faire les recrutements nécessaires ! Nos GF, NR et échelons d’ancienneté doivent permettre d’élever notre pouvoir d’achat au cours de notre carrière. Dans une hypocrisie éhontée, nos employeurs mélangent tout en considérant que notre investissement (NR), notre montée en qualification (GF) ou notre expérience (Echelons) doivent aussi servir (avec le SNB) à compenser notre perte de pouvoir d’achat. Ainsi, avec cette logique de « mépris de classe » portée par les employeurs des IEG, tous les agents perdent du niveau de vie chaque année. Pour la CGT, c’est inadmissible ! Face à cette provocation insupportable de nos employeurs des IEG, la FNME-CGT appelle les agents à s’organiser afin d’exiger une réouverture des négociations sur le SNB, avant toute discussion sur les mesures salariales d’entreprise. ★ SNB : Salaire National de Base / IPC : Indice des Prix à la Consommation Voir le document national Rejoignez-nous, adhérez, pour renforcer la CGT EDF R&D, agir et peser ensemble sur les décisions.Pour vous syndiquer à la CGT : https://cgt-edf-recherche.fr/se-syndiquer/Pour nous contacter : cgt-retd@edf.frPour lire nos publications : http://cgt-edf-recherche.fr/
Nous n’avons pas à payer l’austérité imposée par Macron-Barnier-Retailleau ! Les négociations salariales vont commencer dans les Industries Electriques et gazières avec la toute 1ere réunion de la CPPNI (Commission Paritaire de la Branche des IEG) le 24 octobre. Rappelons qu’en juin dernier la FNME-CGT a fait reculer nos employeurs, qui voulaient faire disparaitre notre grille de salaire, par son refus clair et net des pas de NR de 0,1%. Nos revendications restent intactes : pas touche à la grille de salaire des agents des IEG et augmentation générale des salaires de manière à ce que le salaire minimal de la grille des IEG se trouve au SMIC CGT, c’est-à-dire à 2000 euros brut mensuels. Rappelons également que le retard du salaire national de base (SNB ☆) est colossal vis-à-vis de l’inflation qui nous concerne tous : la mobilisation CGT en 2022 a permis de gagner autour de 8% de hausse des salaires, mais avec une hausse du SNB faible, par le biais de NR automatiques pour les agents, et avec des conditions différentes d’une entreprise de la branche à l’autre : ce que nous voulons, c’est l’augmentation du SNB ! Elle est nécessaire pour permettre les embauches indispensables ! BUDGET de l’ETAT et de la SECU : L’AUSTERITE C’EST NON ! Par ailleurs les annonces du gouvernement Macron-Barnier-Retailleau sont alarmantes et inacceptables : les salariés, comme les retraités n’ont pas à payer ! Le budget d’austérité présenté début octobre prévoit une réduction des déficits publics de 60 milliards avec par conséquent des coupes sombres dans les budgets publics de plus de 41 milliards pour la seule année 2025 ! Avec notamment des conséquences dramatiques : Dans les services publics : 4000 postes d’enseignants en moins, 5 milliards en moins dans les services publics territoriaux ; Pour le secteur de la santé : 5 milliards d’économie pour les dépenses de santé avec des conséquences sur la baisse des remboursements de la sécurité sociale (baisse de la prise en charge des consultation médicales, baisse des Indemnités journalières, déremboursement de nouveaux médicaments …) Lors de son 1er déplacement en tant que 1er ministre, Barnier a rencontré du personnel hospitalier, épuisé, et a poussé la provocation jusqu’à leur dire qu’ils n’auraient aucun moyen supplémentaire. Pour les retraités : qui verraient leur pension revalorisée seulement en juillet 2025 au lieu de janvier. Là encore Barnier économise 3,6 milliards ! Rappelons encore une fois que les exonérations de cotisations patronales ont flambé avec les gouvernements Macron pour atteindre plus de 20 milliards par an : des cadeaux faits aux patrons en prenant sur notre salaire socialisé (salaire brut et super brut qui sont nos acquis !) ; Le gouvernement trouve de l’argent pour la guerre mais pas pour les services publics, la santé, les salariés et les retraités ! Le seul budget de l’Etat qui sera en hausse est … le budget du ministère de la Défense qui grimperait de 3,2 milliards pour atteindre 50,2 Milliards. Ce sont 17 milliards en plus comparé à 2017, c’est-à-dire +48% depuis l’arrivée de Macron au pouvoir. Seule la recherche de solutions diplomatiques aux conflits existants nous sortira de l’escalade guerrière actuelle. Quant au secteur de l’Energie 3 milliards de taxe supplémentaires dont 2 milliards pour EDF qui pèseront au final sur les factures des usagers, augmenteront encore le nombre de précaires énergétiques… et qui risquent d’être utilisés contre nos augmentations de SNB, contre la nécessaire augmentation des effectifs. STOP : Les salariés ont assez payé ! De l’argent, il y en a ! 175 milliards de cadeaux faits aux entreprises sous forme d’aides publiques ; cela représente une augmentation de 50% en 15 ans Record du CAC 40: plus de 123 milliards de profits en 2023 (source LaTribune) correspondant à une progression de 30% sur les dernières années Les 500 plus grosses fortunes de France ont vu leur patrimoine augmenter en 15 ans de 1000 milliards (passage de 200 à 1200 milliards depuis 15 ans) Et nous, on nous fait travailler 2 ans de plus et Macron nous vole nos régimes spéciaux de retraite ! Nous exigeons : La hausse du SNB, pour atteindre un minimum de grille à 2000 euros brut ; ce qui correspond à 20% de hausse en intégrant le rétablissement de l’intégralité du mécanisme des échelons d’ancienneté (embauche à l’échelon 1), Le maintien de la grille unique de salaires des IEG, L’abrogation de la réforme des retraites, Nous refusons le budget d’austérité de Barnier ! Rejoignez-nous, adhérez, pour renforcer la CGT EDF R&D, agir et peser ensemble sur les décisions.Pour vous syndiquer à la CGT : https://cgt-edf-recherche.fr/se-syndiquer/Pour nous contacter : cgt-retd@edf.frPour lire nos publications : http://cgt-edf-recherche.fr/ ☆ SNB : salaire national de base est la base du calcul de nos salaires et de notre grille de salaire, suivant la formuleSalaire = SNB x (1 +MR/100) x K/100 x (1+A/100)MR : majoration résidentielle = 25% pour la région parisienneK : coefficient correspondant au NRA : majoration ancienneté (échelon)
C’est dans un contexte de montée des dangers les plus graves que nous, syndiqués CGT de la R&D d’EDF, nous sommes réunis en congrès ces jeudi et vendredi 3 et 4 octobre 2024. Nous partageons avec vous cet appel, issu de nos débats et de notre analyse de la situation générale. Tout d’abord le danger d’une extension encore plus catastrophique des guerres déjà en cours en Ukraine, à Gaza et maintenant au Liban Ces conflits ne font que prolonger de manière sanglante les affrontements entre grandes puissances mondiales pour l’accaparement des ressources stratégiques, le contrôle des routes commerciales et la captation des marchés internationaux, au seul profit des grands groupes et de leurs actionnaires. Nous appelons à un cessez-le-feu immédiat dans ces deux conflits et dénonçons la responsabilité d’E. Macron et de nos gouvernements qui œuvrent à la poursuite des hostilités en livrant armes et matériel militaire aux armées ukrainienne et israélienne, et en continuant de soutenir le gouvernement d’extrême-droite de B. Netanyahu. Ensuite, dans notre pays, le danger de l’extrême droitecontre lequel notre syndicat a appelé à soutenir le nouveau front populaire et son programme. L’extrême droite influe désormais sur la politique du gouvernement Barnier, impose son discours et ses obsessions dans le champ médiatique et se rapproche toujours plus du pouvoir, aidée par Macron, tous étant au service des actionnaires des multi-nationales. Une telle perspective mènerait immanquablement à une radicalisation des attaques, pourtant déjà incessantes et brutales, contre les salariés et leurs droits, à une poursuite des politiques d’austérité salariale et de destruction des services publics qui paupérisent les travailleurs et fragmentent le tissu social, à une menace sur les libertés individuelles, et enfin à une répression encore plus féroce des mouvements de contestation. Les besoins de la population sont aux antipodes de ces politiques antisociale et réactionnaires. C’est pourquoi nous revendiquons avant tout l’indexation des salaires sur l’inflation, l’augmentation du SMIC à 2000 euros bruts et l’abrogation de la réforme des retraites de 2023, avec pour conséquence, dans les IEG, le maintien de notre grille unique de salaires, la revalorisation du SNB amenant le NR 1 échelon 10 à ce niveau de 2000 € et la réintégration des agents embauchés depuis septembre 2023 à notre régime pionnier de retraite des IEG, plus favorable que le régime général. Nous affirmons notre détermination à défendre ces revendications avec toute la fermeté nécessaire au sein de la fédération CGT des mines et de l’énergie, au sein de la confédération CGT, et à participer à tous les mouvements et mobilisations qui permettent d’instaurer un rapport de force en faveur de ces mesures. En particulier, le syndicat CGT d’EDF R&D entend prendre toute sa part à la construction de grèves, meilleur outil à-même d’imposer ces mesures à nos gouvernants. Enfin le danger d’une aggravation des crises climatique et environnementale,qui, dans le domaine énergétique, appellent à une sortie urgente de notre dépendance aux énergies fossiles. Cette transition impose une décarbonation des usages : transports, chauffage, procédés industriels, etc. qui ne sera viable qu’en disposant d’infrastructures de réseau appropriées et de moyens de production performants, sûr et complémentaires. Des investissements massifs sont nécessaires pour adapter et moderniser le système électrique : prolongation et renouvellement du parc nucléaire, rénovation des usines de production hydrauliques et construction de nouvelles STEP, mise en place de filières EnR adaptées aux usages, développement des réseaux de distribution, etc. Ces objectifs nécessitent une stratégie de long terme et une cohérence de gestion qui fait cruellement défaut depuis la libéralisation du secteur. Ils doivent être poursuivis selon les besoins de la population, dans le cadre d’un service public accessible à tous et avec un contrôle de la part des travailleurs et des citoyens. Nous refuserons toute mise en concurrence des concessions hydrauliques et nous sommes pour leur maintien au sein d’EDF, entreprise intégrée. C’est pourquoi nous revendiquons un retour au TRV, un retour au monopole public de l’électricité, et donc la sortie du marché qui a prouvé son inefficacité à organiser le secteur, et est à l’origine de l’explosion des prix du kWh. Le syndicat CGT EDF R&D apporte tout son soutien aux agents de Cordemais qui défendent leurs emplois et leur outil de production. De même nous soutenons les travailleurs de GRDF, menacés d’un « plan social » prévoyant la suppression de 2000 emplois. Nous, salariés de la R&D, avons de toute évidence un rôle important à jouer dans cette transformation de la production et de l’utilisation de l’énergie électrique. Car une telle ambition passe nécessairement par la recherche de solutions technologiques nouvelles et la construction d’une expertise pérenne et pointue afin de garantir la maîtrise technique et la sûreté des installations. Il est donc urgent de redonner à la R&D les moyens d’assurer ces missions essentielles, en augmentant les effectifs d’au moins 300 agents statutaires, en sanctuarisant toutes les compétences et moyens d’essais actuels de la R&D, et en revenant à une gestion des projets par les départements eux-mêmes, en fonction des besoins scientifiques, techniques et industriels de l’entreprise et non selon une logique de réduction des coûts et de gestion du manque de main d’œuvre. La R&D doit abandonner l’organisation matricielle qui conduit à piloter nos activités comme de simples prestations pour les autres entités d’EDF et imposer une autonomie vis-à-vis de la commandite afin de se projeter sur les enjeux de long-terme. Il est également nécessaire de mettre fin à la « start-upisation » des activités de recherche et développement qui empêchent l’exploration et la mise au point des technologies dont nous aurons besoin dans les décennies à venir (nouvelles générations de réacteurs, hydrogène, captage du CO2, etc) et ont pour seul objectif d’obtenir des financements publics. En particulier, nous dénonçons les annonces récentes de la direction de de se désengager des activités de R&D menées au sein de l’IPVF sur le photovoltaique aux dépens des salariés concernés. Nous revendiquons enfin l’abandon de la fusion ASN-IRSN qui ne peut que nourrir la défiance du public vis-à-vis du nucléaire, et menace directement des activités de recherche qui contribuent à maintenir une excellence scientifique indépendante A suivre…
Après le choc des européennes les exigences sociales doivent être entendues ! L’abstention et l’extrême droite ont atteint un record lors des élections européennes de ce 9 juin. Cette tendance est à l’œuvre dans toute l’Europe mais la France est le pays dans lequel les listes d’extrême droite font le score le plus élevé. Les organisations syndicales alertent depuis des années sur la crise sociale et démocratique qui traverse notre pays. Un politique qui tourne le dos au social et qui crée déclassement, abandon de nos industries et de nos services publics, le passage en force contre la mobilisation historique contre la réforme des retraites, l’absence de perspectives de progrès et la banalisation des thèses racistes, constituent le terreau sur lequel l’extrême droite prospère. En décidant de dissoudre l’Assemblée nationale, et d’organiser des élections législatives en trois semaines, après les premiers départs en vacances et à la veille des Jeux Olympiques, le président de la République prend une lourde responsabilité. Il faut un sursaut démocratique et social. A défaut, l’extrême droite arrivera au pouvoir. Nous l’avons vue à l’œuvre dans l’histoire et aujourd’hui en Italie ou en Argentine par exemple : austérité pour les salaires et les services publics, réformes constitutionnelles remettant en cause l’indépendance de la justice et le rôle des syndicats, attaques contre les droits des femmes et des personnes LGBTQIA+, remise en cause du droit à l’IVG, politiques racistes qui mettent en opposition les travailleuses et les travailleurs en fonction de leur religion, de leur couleur ou de leur nationalité. Nous connaissons ses votes en France comme en Europe, ils sont toujours défavorables aux travailleuses et aux travailleurs. Notre République et notre démocratie sont en danger. Il faut répondre à l’urgence sociale et environnementale et entendre les aspirations des travailleuses et des travailleurs et notamment : Augmenter les salaires et les pensions ; Revenir sur la réforme des retraites et sur celles de l’assurance chômage ; Défendre nos services publics et en garantir l’accès à toutes et tous sans condition de nationalité et sur tout le territoire. Notre école, notre recherche, notre système de santé, de prise en charge de la dépendance, notre système de justice sont asphyxiés et ont besoin d’investissements massifs ; Mettre fin à la verticalité du pouvoir en commençant par restaurer la démocratie sociale à tous les niveaux, entreprise, branche, territoire et interprofessionnel ; Mettre en place des mesures de justice fiscale et notamment taxer les super profits, dividendes et rachats d’actions ; Instaurer enfin l’égalité salariale et éradiquer les violences sexistes et sexuelles ; Instaurer le droit à la régularisation pour tous les travailleurs et travailleuses étranger·es sur la base d’un certificat de travail ; Relocaliser et transformer notre industrie pour répondre aux besoins sociaux en environnementaux en la protégeant du dumping social, fiscal et environnemental ; Créer de nouveaux droits pour permettre aux travailleuses et aux travailleurs d’anticiper les transformations environnementales et de sécuriser leur emploi ; Dans l’immédiat, nous appelons le président de la République à la cohérence. L’Assemblée nationale est dissoute, les réformes doivent donc être interrompues étant donné qu’il n’y a plus aucun contrôle démocratique. Le gouvernement doit en particulier immédiatement renoncer à sa réforme de l’assurance chômage. Nous appelons à manifester le plus largement possible ce week-end pour porter la nécessité d’alternatives de progrès pour le monde du travail.
Macron ouvre les portes du pouvoir à la famille LePen et l’extrême droite
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